Le double quai du rer et l'espoir
Il y a deux ans j’ai compris que mon contrat ne sera pas renouvelé, il y a des mots de trop, il y a eu un corbeau et un soupçon.
Rien n’était à me reprocher au niveau du travail, en même temps quand tu taff comme une chienne…
Puis il y avait lui surtout, mon responsable, ses yeux verts implacables, son intelligence, sa fourberie et mon amour pour lui.
Début de cette semaine, j’ai espéré le voir sur le quai, nous ne prenons plus le même rer mais partageons toujours le même quai. A place en guettant les escaliers j’ai vu mon nouveau chef : pas de charisme, pas de classe et je n’ai absolument rien à lui dire ...
Mon nouveau et mon ancien se connaissent, est ce qu’il lui a demandé un contrôle de référence, est ce qu’il lui a répondu ou a-t-il ignoré l’appel ...
Je lui ai écrit une lettre avant de me faire dégager comme un vieux riblon, une lettre ou je lui disais tout ma déception, je me souviens plus de la teneur exacte de cette lettre : je me souviens de quelques passages : " qu’il était un peu comme un joseph fouché" et je crois que je lui ai écrit aussi qu’il louvoyait au gré de ses intérets ... enfin je ne sais plus…
J’avais écrit un texte pour moi sur ce que je ressentait et que pour le coup je l’ai gardé et je vais le publié après cet écrit.
Samedi j’ai vu Ania c’était cool